Christian Wasselin

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Né à Marcq-en-Barœul (ville célébrée par Aragon), Christian Wasselin se partage entre la fiction et la musicographie.
On lui doit notamment plusieurs livres consacrés à Berlioz (Berlioz, les deux ailes de l’âme, Gallimard ; Berlioz ou le Voyage d’Orphée, Le Rocher), à Beethoven et à Mahler, des dramatiques radiophoniques (La Ville inoubliée, France Culture ; Le Baiser Lamourette, France Inter), des romans (Rue du bois de la lune, Aléas ; Clara ou le soleil noir de Robert Schumann, Scali ; La Chouette effraie, L’Ornithophoniste et Jetez des fleurs !, Les Soleils bleus). Il a également signé une biographie de Beaumarchais (Gallimard), un livre sur Nerval dans la collection "Le Paris des écrivains" et un autre sur Berlioz dans la collection "Le Paris des artistes" (éd. Alexandrines), et le livret de l’opéra de Gérard Condé Les Orages désirés.
Par ailleurs, Christian Wasselin collabore à Opéra Magazine et à Scènes Magazine, et a co-dirigé avec Pierre-René Serna le Cahier de l’Herne consacré à Berlioz.

Christian Wasselin

Les 366 articles de cet auteur

Un voyage musical au Centre culturel irlandais.

On peut aussi se mettre au parterre ou au balcon pour apprécier Les Bains macabres de Guillaume Connesson.

Le pianiste bulgare offre à la Salle Gaveau un programme entre ciel et terre.

Les 25 romances arrangées pour voix et guitare par le jeune Berlioz sont pour la première fois enregistrées.

L’Association La Nouvelle Athènes poursuit son aventure au pays des pianos du XIXe siècle.

Le temps d’un récital à la salle Gaveau, dans le cadre du festival La dolce volta, Dana Ciocarlie revient à son Schumann bien-aimé.

Simultanément à la production de Coronis dévoilée au théâtre de Caen, Pierre-René Serna publie un livre consacré à la zarzuela baroque. Une première dans le genre.

Un concert et un enregistrement de Raoul Barbe-Bleue donnent l’occasion de nous retrouver en compagnie de Grétry.

Dans un mélange de lyrisme et de bonne humeur, Stéphanie d’Oustrac nous invite dans un salon dont Berlioz est le héros.

La nymphe Coronis, héroïne d’une zarzuela de Sebastián Durón, s’était endormie il y a plus de trois siècles. Elle s’est réveillée au théâtre de Caen grâce à une belle distribution, au Poème harmonique de Vincent Dumestre et à l’ingéniosité scénique d’Omar Porras.

À l’Opéra royal, Hervé Niquet dirige un opéra-comique efficace, concis mais un peu trop sage de Grétry : Richard cœur de lion.

Il y a dix ans, un petit (mais splendide) palais vénitien accueillait une jeune équipe de chercheurs et de musicologues dévoués à l’exhumation de la musique française du XIXe siècle.

Paul Badura-Skoda nous a quittés, et avec lui une certaine idée du piano, de son histoire, de sa mécanique et de son mystère.

Pour couronner son odyssée schumannienne commencée il y a cinq ans, Dana Ciocarlie conjugue récital et concert au Théâtre des Champs-Élysées.