Christian Wasselin

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Né à Marcq-en-Barœul (ville célébrée par Aragon), Christian Wasselin se partage entre la fiction et la musicographie.
On lui doit notamment plusieurs livres consacrés à Berlioz (Berlioz, les deux ailes de l’âme, Gallimard ; Berlioz ou le Voyage d’Orphée, Le Rocher), à Beethoven et à Mahler, des dramatiques radiophoniques (La Ville inoubliée, France Culture ; Le Baiser Lamourette, France Inter), des romans (Rue du bois de la lune, Aléas ; Clara ou le soleil noir de Robert Schumann, Scali ; La Chouette effraie, L’Ornithophoniste et Jetez des fleurs !, Les Soleils bleus). Il a également signé une biographie de Beaumarchais (Gallimard), un livre sur Nerval dans la collection "Le Paris des écrivains" et un autre sur Berlioz dans la collection "Le Paris des artistes" (éd. Alexandrines), et le livret de l’opéra de Gérard Condé Les Orages désirés.
Par ailleurs, Christian Wasselin collabore à Opéra Magazine et à Scènes Magazine, et a co-dirigé avec Pierre-René Serna le Cahier de l’Herne consacré à Berlioz.

Christian Wasselin

Les 364 articles de cet auteur

Un livre chaleureux mais sans complaisance vient brosser le portrait de Michèle Reverdy, compositeur qui trace son sillon.

Dans le cadre des Rumeurs qui accompagnent « Platée », la splendide tragédie lyrique Castor et Pollux est jouée à l’Opéra Comique.

Ce n’est certes pas un hasard si l’opéra-comique de Bizet vient d’être représenté avec brio au Théâtre impérial de Compiègne.

Un brillant essai d’Emmanuel Reibel pose une question essentielle : existe-t-il une musique romantique ?

Pour son édition 2014, le festival de Radio France a choisi de lancer un pont de 13 concerts entre les deux capitales.

Dans le cadre du cycle « La nuit » imaginé du 11 au 14 janvier par la Cité de la musique, l’Ensemble intercontemporain a donné la première française d’une œuvre du prometteur Yves Chauris.

La publication de la riche et captivante correspondance entre Liszt et Wagner, et un bref et éclairant essai d’Alain Galliari, mettent un terme (provisoire !) à l’avalanche de livres consacrés à l’auteur du Crépuscule des dieux.

Au moment où revient La Dame à la licorne, les épris de musiques médiévales auraient tort de manquer les Heures musicales qui ont lieu au Musée de Cluny.

L’opéra de Salieri, qui n’était qu’un titre ou un repère historique, redevient une œuvre vivante.

Morte à vingt-cinq ans en 1918, la prometteuse Lili Boulanger nous a laissé des compositions riches d’angoisse, d’impatience et de désir d’aimer.

Valery Gergiev nous rappelle que la musique de Berlioz n’est rien sans des interprètes d’exception.

La soprano Françoise Masset fait renaître la ferveur et la douleur comme on les chantait à Rome au XVIIe siècle.

Troisième Winterreise parisien en quelques mois. Cette fois, c’est le baryton Bo Skovhus qui nous emmène entendre grincer la girouette et tomber les larmes de glace.