Christian Wasselin

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Né à Marcq-en-Barœul (ville célébrée par Aragon), Christian Wasselin se partage entre la fiction et la musicographie.
On lui doit notamment plusieurs livres consacrés à Berlioz (Berlioz, les deux ailes de l’âme, Gallimard ; Berlioz ou le Voyage d’Orphée, Le Rocher), à Beethoven et à Mahler, des dramatiques radiophoniques (La Ville inoubliée, France Culture ; Le Baiser Lamourette, France Inter), des romans (Rue du bois de la lune, Aléas ; Clara ou le soleil noir de Robert Schumann, Scali ; La Chouette effraie, L’Ornithophoniste et Jetez des fleurs !, Les Soleils bleus). Il a également signé une biographie de Beaumarchais (Gallimard), un livre sur Nerval dans la collection "Le Paris des écrivains" et un autre sur Berlioz dans la collection "Le Paris des artistes" (éd. Alexandrines), et le livret de l’opéra de Gérard Condé Les Orages désirés.
Par ailleurs, Christian Wasselin collabore à Opéra Magazine et à Scènes Magazine, et a co-dirigé avec Pierre-René Serna le Cahier de l’Herne consacré à Berlioz.

Christian Wasselin

Les 364 articles de cet auteur

Au Théâtre des Champs-Élysées, Thomas Engelbrock emmène une Cenerentola pleine d’allant que n’asphyxie aucun pseudo-message édifiant.

Du Directoire à Mai-68, La Fille de madame Angot fait entendre à la salle Favart un Paris populaire revu et corrigé par les conventions de l’opéra-comique.

La nouvelle production de Lohengrin proposée à l’Opéra Bastille est un bel exemple de mise en scène plaquée sur une malheureuse partition qui n’en demandait pas tant.

On éprouve toujours un plaisir sans partage à entendre Les Boréades, que vient de mettre à l’affiche le Théâtre des Champs-Élysées, même quand l’orchestre invité éprouve de la peine à trouver son assise.

À la tête de l’Orchestre de chambre de Paris, Thomas Hengelbrock nous fait entendre les couleurs inquiétantes imaginées par Schubert et quelques autres.

Le pianiste russe naturalisé allemand, qui avait forgé son art loin de toutes les conventions, nous a quittés le 5 septembre dernier.

Dans une pièce à un personnage signée Michel Mollard, Romain Rolland nous convainc que la musique est peut-être la seule réponse à l’énigme du monde.

« Hercule sauveur » : tel pourrait être le titre de l’oratorio de Zad Moultaka et Bruno Messina, créé lors du Festival Berlioz.

Soirées dans la cour du Château Louis XI et concerts de musique de chambre dans l’église rythment le Festival Berlioz de La Côte-Saint-André.

Un festival est né en 2022 : il vous attend cette année du 17 au 20 août, toujours bien sûr entre Berry et Bourbonnais.

Au Théâtre des Champs-Élysées, une distribution choisie révèle une partition de Massenet qui juxtapose les genres sans les mêler.

À l’Opéra-Comique, la rose de Zémire et Azor manque un peu de parfum.

Des compositrices on ne peut plus différentes se succèdent à l’occasion d’un concert dirigé par Hervé Niquet.

On n’avait pas entendu le Fausto de Louise Bertin depuis 1831. Le revoici.