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Un spectacle décousu dans lequel scintillent de temps à autre de vraies pépites, mais englué dans une phraséologie soixante-huitarde ( on est dans le sujet...) qui m’a fait penser ici et là aux déconographies logorrhéiques de Léo Ferré en 68 et 69.
Succession de tableaux sans lien, sans progression aucune, décousue, et souvent surjouée, on regrette la diction approximative de Caubère forçant de temps à autre, trop souvent, son accent. Des comparaisons qui ont dû faire Raimu se retourner dans sa tombe... que viennent faire de Funès et Préboist dans cette aventure ????
Spectacle qu’il est difficile de conseiller ; il n’est pas du tout certain que la seule lecture du texte, trop riche sans doute souvent pour être déclamé aussi vite, ne soit pas plus instructive que ce qu’en a fait Caubère.
Un excellent guitariste, contraint malheureusement lui aussi à surjouer pour tenter de donner une pâte, une matière, un relief à ce long, très long, trop long monologue.