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Trois fois Ulysse
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Le 18 avril par Jean-Marie Prévost
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Un peu long effectivement. Trop long pour moi, je suis parti…
Le 2 février par Benoit
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Bio mais pas dégradées de Christian Dob
Bonjour à vous tous, Je suis admiratif des oeuvres de Christian…
Le 24 janvier par BERNART
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Belles de scène « Mesdames, à vous de jouer ! » de Jeffrey Hatcher
Bonjour, Je voudrais suivre cette troupe et être informée de leurs…
Le 16 décembre 2023 par BRUNEAU Martine
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Un Journal, un opéra, une création
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Le 14 décembre 2023 par Mariette Job
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Thé à la menthe ou thé citron
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Le 11 décembre 2023 par BERTRAND
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Le retour de Médée
QUELQUES MOIS APRES LA MÉDÉE donnée au Théâtre des Champs-Élysées en…
Le 16 avril par
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Moman, Pourquoi les méchants sont méchants ? de Jean-Claude Grumberg
« Que fait-on quand on est vieux ? on pense à sa tendre enfance et…
Le 15 avril par
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Sept merveilles du monde symphonique
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Le 14 avril par
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Drache nationale
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Le 14 avril par
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Jours de joie de Arne Lygre par Stéphane Braunschweig
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Le retour de l’Arlésienne
IL Y A QUELQUES ANNÉES, DANIEL MESGUICH et le regretté Jean-Claude…
Le 12 avril par
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Si une histoire frappe à ta porte... de David Guez
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Le 12 avril par
Cher monsieur,
Merci d’avoir réagi à mon modeste article. Faites-moi la grâce de croire que j’avais présent à l’esprit le poème célèbre que vous citez, mais qui n’a jamais été pour moi le manifeste d’un quelconque art poétique à la manière de Verlaine, auquel je fais allusion. J’ai toujours lu le dernier poème d’"Emaux et Camées" comme un manifeste politique, ou plutôt anti-politique, sur le thème : tout passe (sous-entendu le Temps, auquel l’Histoire prétend donner une forme et la Politique un sens), seul l’art est intemporel. Je ne l’ai en revanche jamais lu comme une rêverie sur la poésie elle-même, sur les mètres, etc. Non pas la poésie elle-même, donc, mais son statut. Vous me direz que je joue sur les mots : soit. Mais si vous me permettez un souvenir personnel, je me rappelle avoir déjà eu cette conversation avec un de mes professeurs de lycée qui, pour sa part, ne jurait que par l’engagement !
Bien à vous,
Christian Wasselin